Chers amis,
Cette semaine sera toute en chansons israéliennes avec Phil Ben et son livre de 200 chansons israéliennes traduites et d'un accès audio très facile.
Bonne écoute et bon partage.
Monique Naccache
Emission consacrée à Gisèle Sarfati
Chers amis auditeurs,
Après une carrière d'enseignante, Gisèle Sarfati renoue avec ses anciennes passions : la littérature, le cinéma et le théâtre …
Aujourd'hui nous lui donnons la parole pour deux de ses livres:
- "Voyages : à la recherche d'une mémoire perdue : Sousse, 1871-1967", autofiction où Gisèle Sarfati inspirée de l'histoire intimiste de sa propre famille, raconte l'histoire des familles juives, les Sarfati, les Chemla, les Nataf et les Scemama, qui ont vécu dans le sud tunisien, à l'aube de la colonisation française de 1871 jusqu'à 1967, l'année de l'exode des Juifs de Tunisie après la Guerre des Six-jours.
- "Romain Gary : Un autre regard "où Gisèle Sarfati nous le présente sous différentes facettes jusqu'à sa triste mort le 2 décembre 1980.
Bonne écoute et bon partage.
Monique Naccache
Qui se souvient de "La Passante du Sans-Souci" ?
A nouveau un podcast de Xavier Nataf que je vous propose d’écouter.
Pour lire la présentation de ce dynamique journaliste, cliquer sur son nom en libellé, en rappelant que l’on peut accéder à son blog radiophonique parmi les liens permanents de Voix Plurielle.
Dans cet enregistrement, il nous parle d’un film déjà vieux de 40 ans, et qui fut le dernier où apparut Romy Schneider, qui devait mourir prématurément l’année suivante.
Extrait de sa présentation ci-dessous :
« Nous
sommes en 1981. Max Baumstein est président du Mouvement de solidarité
internationale. Un jour, il rencontre l'ambassadeur du Paraguay et reconnaît
Ruppert Von Leggaert, un ancien dignitaire nazi. Max décide de le supprimer.
Voilà comment commence le film de Jacques Rouffio La Passante du Sans-Souci (…).
Le film est une adaptation du roman éponyme de Joseph Kessel. L’histoire de Max
Baumstein, un jeune garçon juif dont la famille fut décimée par les nazis et
qu’Elsa Wiener, immigrée allemande ne tarde pas à la prendre sous son aile
telle une mère de substitution.
Le film est impulsé par Romy Schneider en personne, bouleversée par ce texte
qui lui rappelle sa jeunesse dans l’Allemagne du IIIème Reich ... »
Bonne écoute !
Jean Corcos
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