Des voix connues des radios juives de France,
des voix différentes, et libres,
des voix pour faire écho à l’art, à la culture, pour comprendre notre monde et l'habiter dans la connaissance.
Adresse : cultureetinfos.blogspot.com
Pour hol ha moed Pessah, je vous propose de découvrir Laura
Lassi Townsend, qui chante en hébreu et en arabe, avec deux formations : l'orchestre
andalou de New York, et sa propre formation. Laura chante également a capella et nul
doute que sa voix va vous ravir, dans une très belle chanson de Maurice El
Medioni que nous saluons.
En cette veille de Pessah, pensons fortement aux malades,
aux esseulés.
A ce titre, je vous donne à entendre le merveilleux « paytan » Alain Scetbon et sa formation dans leur lecture et cantillation de la
Haggadah de Pessah selon le rite tunisien.
Un sujet original pour ma
dernière interview, puisque pour une fois on ne va pas parler d’actualité et de
sujets plutôt angoissants, mais je l’espère vous aider à vous évader un petit
peu, en parlant de peintures, de dessins, de sculptures, bref de toutes ces
créations originales qui dorment dans des musées, qui ressortent le temps de
grandes expositions, mais qui aussi peuvent accrocher le regard du passant
derrière une vitrine. Mon invitée est Francine Szapiro, qui dirige une galerie très
connue dans le monde juif de Paris, puisque c’est la galerie Saphir, à deux pas
du MAHJ, le Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme.
Comment est né il y plus de 40
ans ce lieu de rendez-vous des amateurs d’art ? Comment définir « L’école
de Paris », dont la Galerie a proposé des œuvres remarquables au fil des
années ? Faut-il être juif pour s’intéresser à des peintures à thème juif ?
Quel est le profil des collectionneurs ? Et bien d’autres questions, et l’éclairage
très intéressant de mon invitée : bonne écoute !
Cette semaine, le Professeur David Khayat va nous aider à
bien vivre sans se priver, sans culpabiliser en nous disant "promis,
demain j'arrête", sans arriver à nous priver de ce 5eme millefeuilles ou
de cette 20eme cigarette.
Nous allons ainsi découvrir comment il est possible de
gérer dans la vie de tous les jours nos péchés mignons et autres excès.
L’Hébreu et
l’Arabe sont deux langues sémitiques qui sont très proches, par le vocabulaire et
par la logique de leur syntaxe. Mais elles sont presque toujours apprises
séparément, y compris en Israël où existe pourtant une importante minorité
arabe, musulmane mais aussi chrétienne. Par ailleurs, la démarche de les
étudier ensemble ne va pas de soi, en raison du lourd passif historique récent,
même si et heureusement le conflit israélo-palestinien a perdu de son intensité.
« Parler
en paix » propose un rapprochement des cultures très original, puisqu’elle
propose depuis plus de 15 ans à ses adhérents d’apprendre en parallèle l’Arabe et l’Hébreu. Et dans
cette émission, diffusée en 2018 et reprise sur la chaine Youtube de leur
association, j’ai posé beaucoup de questions pratiques à Véronique Teyssandier,
présidente et Nicolas Bontemps, vice-président : approche pédagogique, nombre
d’élèves, motivations, activités culturelles associées …
Cette
semaine, vous naviguerez entre poésie et devoir de mémoire avec "Le
silence des Matriochkas" d'Anne Bassi, publié aux éditions Berangel. Trois
femmes, trois destins ....et un secret.
Inspiré de
faits réels, ce roman vous transporte de 1885 à nos jours, de Kiev à Paris en
passant par Berlin. Un roman plein d'émotion sur la transmission du passé et de
sa mémoire.